• C'est un couple de vieux paysans qui participe à la remise des prix d'un concours de taureaux. Le présentateur annonce les prix :
    - 3ème prix, le taureau Gédéon, 3 ans, 3 saillies par jour.
    La vieille (tapant du coude son mari) :
    - T'entends ! 3 fois par jour !!
    Le présentateur :
    - 2ème prix, le taureau Géronimo, 5 ans, 6 saillies par jour.
    La vieille (idem) :
    - T'entends ??!!
    Le présentateur :
    - 1er prix, le taureau Germain, 4 ans et demi, 9 saillies par jour.
    La vielle (idem) :
    - T'entends !!
    Le vieux (s'adressant au présentateur) :
    - Dis donc mon gars, les 9 fois par jour, c'est avec la même vache ?
    Le présentateur :
    - Bien sûr que non !
    Le vieux (à sa femme) :
    - T'entends !!


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  •  

    Au Canada, dans le Grand Nord, un bûcheron coupe son bois pour l'hiver. Après deux journées de coupe, il en vient à se demander si sa provision de bûches sera suffisante. Les hivers sont très froids dans la région. Il va donc voir un vieux chef indien, un peu déplumé, pour savoir si l'hiver sera rigoureux. Il pose sa question, et le chef lui dit :
    - Ugh ! Hiver sera rude.
    Alors le bûcheron retourne couper du bois, encore et encore. Au bout de quelques jours de durs labeurs, il retourne voir le vieux chef et lui repose sa question. Et le chef répond :
    - Ugh ! Hiver sera rude, très rude !
    Alors le bûcheron retourne bûcheronner. Pendant quinze jours. Puis il retourne voir l'indien. L'indien lui dit :
    - Ugh ! Hiver sera rude, très très très rude !
    Alors le bûcheron demande au chef :
    - Mais, Grand Chef, comment peux-tu savoir cela ?
    Et l'indien répond :
    - Quand homme blanc coupe beaucoup de bois, c'est que hiver sera rude !
    <o:p></o:p>



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  • Une petite vieille s'en va un beau jour à la Banque du Canada avec un sac plein d'argent. Elle insiste pour parler avec le Président pour ouvrir un compte.
    "J'ai, dit-elle, un paquet de pognon !"
    Après un temps de réflexion, un employé l'emmène jusqu'au bureau du Président (le client a toujours raison !). Le Président de la banque lui demande combien elle veut déposer et elle lui répond :
    "165 000 $", en jetant le sac sur son bureau.
    Le Président fut clairement curieux de savoir comment elle avait obtenu tout ce liquide, et il lui demanda :
    "Madame, je suis surpris de vous voir transporter tout ce liquide. Comment avez-vous fait pour l'obtenir ?"
    La petite vieille lui répondit :
    "Je fais des paris."
    Le Président lui demanda encore :
    "Des paris ? Quels types de paris ?"
    La petite vieille lui répondit :
    "Par exemple, je parie 25 000 $ que vos testicules sont carrées."
    "Ha ! S'esclaffa le Président, c'est un pari stupide ! Vous ne pourrez jamais gagner un pari de ce genre-là !"
    La vieille dame lui répondit :
    "Alors vous acceptez mon pari ?"
    "Bien sûr, dit le Président. Je parie 25 000 $ que mes testicules ne sont pas carrées !"
    Alors, la petite vieille lui dit :
    "Etant donné qu'il s'agit d'un paquet d'argent, puis-je revenir demain matin à 10 heures avec mon avocat comme témoin ?"
    "Bien sûr", lui dit le Président confiant.
    Cette nuit-là, le Président était vraiment nerveux à cause du pari et il passa beaucoup de temps devant un miroir à contrôler ses testicules en les tournant continuellement à droite puis à gauche. Il les contrôla avec attention jusqu'à ce qu'il soit sur qu'elles n'étaient pas carrées. Et qu'il avait gagné le pari...
    Le matin suivant à 10h00 précises, la vieille dame fit son apparition avec son avocat dans le bureau du Président. Elle présenta son avocat au Président et lui rappelle le pari : 25 000 $ que les testicules du Président sont carrées !
    Le Président accepta de nouveau le pari et la petite vieille lui demanda de baisser son pantalon de telle sorte que tout le monde puisse voir. La petite vieille scruta attentivement les testicules et demanda si elle pouvait les toucher.
    "Bien sur, dit le Président, au fond 25 000 $ c'est une somme et je pense que vous devez être absolument sûre."
    Au même moment il remarqua que l'avocat était silencieusement en train de se taper la tête contre le mur. Le Président demanda à la petite vieille :
    "Qu'a donc votre avocat ?"
    Et elle de répondre :
    "Rien à part le fait que j'ai parié 100 000 $ avec lui qu'à 10h00 du matin j'aurai dans mes mains les testicules du Président de la Banque ."


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    Un Belge rentre dans un bar à Paris. Il s'assied au comptoir.
    Le garçon s'approche : "Qu'est-ce que vous prenez, Monsieur ?"
    Le Belge : "Un whisky avec deux glaçons, une fois".
    Il boit son verre et se dirige vers la sortie. Le garçon l'appelle : "Monsieur, vous n'avez pas payé votre consommation..."
    Le Belge répond : "Vous m'avez proposé de prendre quelque chose. Je n'ai rien demandé, donc je ne dois pas payer !"
    Et il sort, laissant le garçon complètement éberlué...
    Le garçon raconte l'affaire à ses patrons le soir : "J'ai deviné à son accent que c'était un Belge. Il est parti sans payer sous prétexte que c'est moi qui lui ai demandé à boire !"
    "Ce n'est pas grave.", dit le patron. "Demain je tiendrai le bar. S'il revient, il verra à qui il a affaire !"
    Le lendemain, le patron est au bar. Le belge entre, s'assied au bar et attend. Le patron lui demande ce qu'il désire boire : "Un whisky avec deux glaçons, une fois", répond le Belge.
    Le patron reconnaît l'accent et lui sert son verre. Après avoir bu, le Belge s'en va sans payer. Le patron lui dit : "Eh, vous, vous n'avez pas payé votre verre !"
    Le Belge répond : "Non, c'est vous qui me l'avez proposé. Quand on offre un verre, on ne réclame pas d'argent !"
    Et il sort, trop rapidement pour que le patron réagisse.
    Le soir, le patron raconte son infortune à sa femme :
    "Ça ne fait rien", dit-elle. "Demain, je m'en occupe et je ne me laisserai pas faire..."
    Le lendemain, la dame est au bar, le belge entre dans l'établissement.
    "BONJOUR", fait la dame.
    "BONJOUR, une fois", répond le Belge. La patronne reconnaît le belge en question et décide de se méfier. Elle attend un bon moment, le Belge ne réagit pas. Au bout d'une demi-heure, la patronne n'y tient plus mais fait preuve de finesse :
    "Monsieur, désirez-vous passer commande ?", demande-t-elle.
    Le Belge répond :
    "Un oeuf cuit dur, s'il vous plaît une fois."
    Intriguée, la patronne lui donne son oeuf. Le Belge enlève la coquille, prend un couteau et commence à découper l'oeuf en petits cubes, devant les yeux médusés de la patronne.
    "Que faites-vous, Monsieur ?", dit-elle très curieuse.
    "Eh bien, je suis un fana de pêche, et j'ai mes recettes secrètes... Je mets ces cubes sur l'hameçon à la place d'asticots ou de mouches", répond d'un air entendu le Belge.
    "Ah bon", dit la patronne perplexe. "Et qu'est-ce que vous prenez avec ça ?"
    "Un whisky avec deux glaçons, s'il vous plaît !", répond le Belge avec un sourire aux lèvres...
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